Le nouveau dictionnaire en ligne prend en compte, nous dit-on, les rectifications orthographiques de 1990 en laissant le choix entre les graphies.
La féminisation des noms de métiers et de fonctions serait enfin à l'ordre du jour, ce qui ne ferait qu'entériner l'usage. Mais l'Académie cherchera-t-elle une harmonisation, par exemple avec l'Office québécois de la langue française, et se prononcera-t-elle sur les féminins mélioratifs (une directrice d'école mais une directeure dans la "haute" administration, une chercheuse et une chercheure).
Enfin abandonnera-t-elle sa manie cacophonique de choisir comme titres de ses rubriques (Dire ne pas dire) les tournures qu'elle déconseille formellement dans le corps de l'article ?
On a aussi besoin d'une réactivité efficace qui nous éviterait facilement 90 % des anglicismes.
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